Le Global Citizen Fellowship Program, financé par Tyler Perry par l’intermédiaire de BeyGOOD, en est maintenant à sa troisième année. En 2021, il incluera des participants au Nigéria et en Afrique du Sud.

Lancée en 2018 devant 60 000 Global Citizens lors du festival Mandela 100, la bourse est un programme rémunéré, d’une durée d’un an, axé sur l’un des quatre piliers d’activité de Global Citizen : création, campagnes, récompenses et marketing.

Les anciens boursiers mettent déjà en pratique tout ce qu’ils ont appris et utilisent leur expérience pour créer un impact dans leurs communautés.

Les boursiers de cette année pourront acquérir une expérience professionnelle dans un environnement dynamique et acquérir les compétences dont ils ont besoin pour jouer un rôle dans le développement social, en aidant leurs communautés à atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies et en faisant connaître les causes auxquelles ils sont attachés.

La bourse consiste en un programme d’études en cinq phases avec des modules interactifs axés sur le leadership, le plaidoyer, le développement international, la citoyenneté mondiale et la préparation au marché du travail.

Pour 2021, la Global Citizen Fellowship, propulsée par BeyGOOD, comprendra des participants nigérians et comptera, pour la première fois, 15 boursiers dans la promotion.

La troisième promotion de la Global Citizen Fellowship a été choisie à l’issue d’un processus de sélection rigoureux qui a commencé avec des centaines de candidatures ; seulement quelques dizaines de candidats ont été ensuite sélectionnées pour passer une série de tests. À partir de ces notes, le comité de sélection a évalué 30 candidats avant d’en arriver à nos 15 derniers.


Le comité a recherché des candidats qui pouvaient démontrer comment ils avaient déjà commencé à apporter des changements dans les endroits où ils vivent, par exemple en soutenant des causes communautaires ou en défendant des enjeux sociaux, et des candidats dont le potentiel était complété par leur compréhension des questions de développement.

Alors, qui sont ces jeunes Africains à fort potentiel qui vivront l’expérience de leur vie ? Rencontrons-les, sans ordre particulier :

  1. Tshiamo Mobe

«  Ce que j’attends le plus de la bourse, c’est d’acquérir de nouvelles compétences et de travailler sans relâche pour incarner le changement que je veux voir dans ma communauté , » a déclaré Tshiamo Mobe, qui se réjouit à l’idée d’être une boursière de Global Citizen.

Mobe s’intéresse aux difficultés que rencontrent les femmes noires en Afrique du Sud telles que la violence sexiste, le chômage et les inégalités.

Mobe a postulé à cette bourse pour acquérir des compétences qui l’aideront à mener des activités en faveur des filles et des femmes noires de sa communauté et pour perfectionner ses compétences en matière de créativité et de collaboration.

«  J’aimerais voir comment je vais évoluer et être inspirée par les autres boursiers... Je crois que la collaboration est l’un des meilleurs outils dont nous disposons en tant que personnes, car nous pouvons nous compléter les uns les autres et faire appel à nos talents uniques afin de créer quelque chose de plus grand que nous — mêmes,  » a-t-elle déclaré à Global Citizen.

  1. Rukayat Tokosi







Rukayat Tokosi s’intéresse aux droits humains et à l’accès à l’éducation des groupes défavorisés et vulnérables de sa communauté, en particulier les enfants, les jeunes filles et les femmes.

Sa vocation est intrinsèquement liée à son expérience personnelle : elle s’est vue refuser une chance équitable de se présenter au poste de chef de classe dans son université en raison de son genre, a-t-elle déclaré à Global Citizen.

«  Personne ne se souciait de mes références ou de mes réussites passées, pour eux c’était juste : ‘pourquoi une femme devrait-elle diriger une foule d’hommes ?’ Cela fait partie pour moi des moments décisifs où j’ai réalisé qu’il existe un fossé [ entre les hommes et les femmes ] qui doit être comblé au plus vite,  » a-t-elle confié.

Elle aspire à perfectionner en particulier ses compétences en matière de narration afin de pouvoir «  mettre en lumière les différents points de vue des gens, ce qui leur permet de développer de l’empathie pour les autres et de construire une communauté inclusive.  »

3. Mpho Mogale







Mpho Mogale, résident de Soweto, est particulièrement touché par la pauvreté et le manque de développement dans les communautés locales d’Afrique du Sud, et c’est la raison pour laquelle il était intéressé par la bourse.

Mogale a ressenti le besoin de travailler pour sa communauté après la semaine d’émeutes et de pillages qui a eu lieu en Afrique du Sud pendant le mois de juillet. Ces émeutes ont été motivées par des disparités économiques et Mogale estime qu’il faut en faire plus pour sauver les entreprises et assurer un emploi aux jeunes après les manifestations.

Elle se réjouit de contribuer à bâtir un avenir positif pour sa communauté et les autres jeunes Sud-Africains notamment grâce aux compétences qu’elle souhaite acquérir dans le cadre du programme de bourses.

«  Je suis impatient de devenir un citoyen actif qui lutte contre les problèmes qui nous affectent en tant que communauté et je m’engage à être un citoyen qui créera également des opportunités pour les jeunes après la fin du programme, afin de contribuer à mettre fin à la pauvreté et à promouvoir la pérennité dans notre pays et dans le monde , » a indiqué Mogale.

4. Molebogang Matsagopane

Molebogang Matsagopane est un passionné d’art oratoire et un champion de débats. Il espère donner aux jeunes les moyens d’agir en partageant les connaissances et les expériences qu’il a acquises en tant que coach de débats, activiste communautaire et, aujourd’hui, boursier de Global Citizen.

Porté par sa passion pour la protection des personnes vulnérables, Matsagopane est un défenseur de la lutte contre la violence sexiste en Afrique du Sud. 

«  Je viens d’une famille où je suis le seul homme alors grandir entouré de femmes puissantes et voir toutes les difficultés auxquelles elles sont confrontées, principalement la discrimination, le sexisme et même la violence, en a fait de moi un défenseur,  » a-t-il déclaré à Global Citizen. «  Je crois que quelque chose d’aussi aléatoire que le sexe ne devrait pas entraver la liberté. »

En rejoignant la session 2022 des boursiers de la bourse de Global Citizen, Matsagopane dit qu’il se réjouit surtout des choses qu’il va apprendre pour contribuer à changer le pays.  

«  Cela va me permettre de développer ma passion mais surtout de pouvoir contribuer à un changement actif et concret des problèmes qui touchent l’Afrique du Sud,  » a-t-il dit. 

5. Landile Mchunu

«  Je crois profondément qu’il faut écouter les désirs de son enfant intérieur,  » a confié Lwandile Mchunu à Global Citizen. Mchunu explique que son plus grand rêve est d’aider les enfants des zones défavorisées à réaliser leurs rêves. 

«  Nous disons aux enfants de ‘rêver grand,’ mais pour les enfants pauvres, l’ampleur de leurs rêves est limitée par ce qu’ils voient autour d’eux et ce à quoi ils ont accès. Je veux que les enfants puissent rêver au-delà des limites de leur réalité , » a précisé Mchunu.

Avec cette vision à l’esprit, Mchunu se consacre à la lutte contre la pauvreté des enfants, ayant grandi dans un township pauvre en Afrique du Sud. Elle est impatiente de collaborer avec les autres boursiers et de travailler pour devenir une actrice du changement qui pourra apporter une réelle différence dans un monde post-pandémique. 

Mchunu est également une amoureuse de la nature, des livres et du soleil. 

6. Katlego Ramokgopa

Constatant que la communauté autour d’elle, et l’Afrique du Sud dans son ensemble, souffrent d’inégalités raciales et de genre, Katlego Ramokgopa cherche à acquérir les compétences nécessaires pour s’attaquer de front à ces problématiques.

«  Je crois que si nous pouvons changer la façon dont les branches poussent, notamment celles des inégalités raciales et de genre, nous pourrons éliminer la racine, qui est l’inégalité globale, et faire de meilleurs jugements basés sur les qualités portées, plutôt que sur la couleur de la peau ou le sexe.  » 

Elle s’intéresse aux campagnes numériques et au marketing. Elle est enthousiaste à l’idée de délivrer des messages qui susciteront l’engagement et l’action de la communauté. 

Ramokgopa est impatiente d’acquérir l’expertise nécessaire pour devenir une meneuse empreinte de compassion et de travailler avec les autres boursiers pour partager des connaissances et des compétences essentielles qui pourraient contribuer à éradiquer la pauvreté en Afrique du Sud et dans le monde. 

7. Sophiyat Sadiq

Sophiyat Sadiq a grandi dans un foyer à faible revenu et a été confrontée au manque d’opportunités destinées aux filles au sein de sa communauté. C’est ce qui la pousse aujourd’hui à se battre pour l’accès à une éducation de qualité pour les filles dans les communautés défavorisées.

«  Tout le monde, partout, devrait pouvoir accéder à une éducation et à des opportunités de qualité, sans distinction liée au genre, aux croyances et stéréotypes culturels, au contexte socio-économique ou à la situation financière,  » a affirmé Sadiq à Global Citizen. 

Elle a postulé à la bourse pour parfaire ses compétences en matière de stratégie de campagne et de politique afin d’influencer le changement dans sa communauté. 

«  Je veux acquérir une expérience professionnelle concrète en m’engageant activement auprès des différentes parties prenantes impliquées dans le processus de changement ou d’adoption d’une loi, » a-t-elle ajouté. 

Sadiq consacre son temps à encourager plus de filles à faire carrière dans les STIM (Science, Technologie, Ingénierie, Mathématiques), et à leur enseigner les utilisations de base de la technologie, ainsi qu’à faire du bénévolat pour des organisations qui offrent des opportunités aux jeunes filles et aux femmes 

8. Tife Sanusi

«  En grandissant en tant que femme au Nigéria, j’ai vu de mes propres yeux comment les femmes étaient réduites au silence et restreintes simplement en raison de leur sexe , » a déclaré Tife Sanusi à Global Citizen. «  Je veux que les jeunes filles grandissent en apprenant à connaître les révolutionnaires passionnés qui les ont précédées et qu’elles se rendent compte qu’elles aussi peuvent changer le monde.  » 

Sanusi explique que c’est la raison pour laquelle elle souhaite raconter les récits du combat des femmes pour se libérer en documentant les mouvements et «  en changeant les récits dangereux, nuisibles et naïfs qui ont été construits autour de nous . »

En tant qu’écrivaine, Sanusi exprime pleinement sa conviction que chacun mérite de vivre une vie épanouie et libérée. Son travail est axé sur la réduction des inégalités, la qualité de l’éducation et la violence sexiste. Elle a été publiée dans des médias tels que Teen Vogue et VICE UK.

9. Adekunle Adepoju

Né dans une famille de cinq personnes à Ibadan, la plus grande ville d’Afrique de l’Ouest, Adekunle Adepoju a toujours eu de grands rêves et de grandes aspirations, notamment lorsqu’il s’agit d’utiliser la technologie pour aider les petites entreprises et les communautés rurales à surmonter leurs difficultés.

«  Je crois fermement que la croissance économique et le développement durable en Afrique peuvent être véritablement menés par de petites entreprises et j’ai vu de mes propres yeux comment la technologie peut être utilisée pour créer de la richesse et des emplois sur une courte période de temps,  » a-t-il déclaré à Global Citizen.

Il espère que la bourse lui apportera des connaissances et des moyens car il souhaite créer une entreprise plus tard.

«  J’ai toujours vécu ma vie en partant de l’idée que je n’ai pas besoin d’être exceptionnel avant de commencer, mais que je dois commencer pour devenir exceptionnel,  » a déclaré Adepoju. «  Je me lance avec un grand rêve, une vision et l’espoir de faire de l’Afrique et du monde en général un meilleur endroit pour nous tous. J’espère qu’en participant à la bourse, j’aurai accès à suffisamment de connaissances et de moyens pour pouvoir créer [ pour ma communauté ].  »

10. Azeez Abubakar





Azeez Abubakar est passionné par le développement durable, l’innovation et la technologie. Il est particulièrement déterminé à aider les communautés les plus vulnérables confrontées aux répercussions du changement climatique et de l’extrême pauvreté.

« Des millions [de personnes], notamment en Afrique, ne disposent pas de ressources pour se remettre rapidement des effets du changement climatique alors que ce sont ceux qui ont le moins contribué à le provoquer,  » a déclaré M. Abubakar à Global Citizen. «  Il est impératif que les pays développés prennent des mesures immédiates pour atténuer le changement climatique et aider les personnes les plus vulnérables à s’adapter et à accroître leur résilience face aux pertes et aux dommages causés par le climat.  » 

Abubakar veut faire partie de ce changement en protégeant les communautés vulnérables des effets du changement climatique, et il a déjà pris un bon départ. Il milite activement pour les objectifs mondiaux des Nations unies et a mobilisé cinquante de ses pairs pour qu’ils se joignent à lui pour les défendre. Il a également pris part au Sommet de la jeunesse de la Banque mondiale ayant pour thème «  Une reprise résiliente pour les populations  » et a remporté le 2019 BIM Africa Student Advocacy Program grâce à ses conceptions innovantes visant à promouvoir la durabilité environnementale.
Il aime aussi la musique pop et adore créer toutes formes d’art.

11. Gideon Oluwabunmi Fakomogbon





Gideon Oluwabunmi Fakomogbon estime que l’accès à une éducation de qualité est important pour bâtir une société durable et inclusive et c’est la raison pour laquelle il a fait des études de politique éducative à l’université. 

Fakomogbon, qui vit dans l’État de Kwara, au Nigéria, a expliqué à Global Citizen qu’il avait envoyé sa candidature à la bourse pour acquérir des compétences et une formation qui lui permettraient de réaliser son rêve : garantir à chacun l’accès à une éducation de qualité.

«  J’ai hâte d’être en contact permanent avec mes mentors et pairs afin d’acquérir des connaissances. Le programme de bourses [sera pour moi un moyen d’apprendre] les différentes valeurs, approches, connaissances, formations et compétences nécessaires pour comprendre et résoudre les défis complexes [liés à l’accès à l’éducation.]  » 

Fakomogbon a obtenu plus de dix certifications liées à la gestion de projet, à la technologie et au leadership auprès des meilleures universités et entreprises du monde. 

12. Blossom Egbude

Egbude Blossom on a charity outreach to Iwaya, Yaba, Lagos to distribute relief materials
Image: Supplied




Blossom Egbude est une avocate qualifiée qui pratique le droit de la propriété intellectuelle et des sociétés au Nigéria. Cependant, c’est son dévouement au développement social et à l’éducation des filles qui l’a conduit vers la Global Citizen Fellowship. L’expérience personnelle qu’elle a vécue en grandissant dans une communauté où l’éducation des filles n’est pas une priorité l’a incitée à plaider pour un accès équitable à l’éducation. 

«  Ma grand-mère n’a pas reçu d’éducation formelle parce qu’on croyait dans sa communauté qu’il était préférable d’enseigner uniquement aux garçons,  » a-t-elle dit à Global Citizen. «  On pensait que les garçons finiraient par réussir leur carrière, mais que les filles, elles, finiraient par se marier, rendant leur éducation inutile.  » Malgré ces difficultés, elle a élevé trois enfants en tant que mère célibataire grâce à son travail dans sa ferme.  

«  L’éducation est un outil qui permet de mettre fin à la pauvreté dans le monde, de combler le fossé des inégalités et de créer des opportunités mondiales, c’est pourquoi je souhaite offrir un monde plus égalitaire aux filles grâce à une éducation contrairement à ma grand-mère qui n’en a jamais reçu.  »

En rejoignant la bourse, Egbude est impatiente de créer des campagnes innovantes qui susciteront le changement et d’utiliser les compétences qu’elle développera pour lutter contre les inégalités les plus profondes dans le monde, notamment dans le domaine de l’éducation.

Elle a également fondé une organisation qui promeut l’égalité d’accès à l’éducation pour les communautés défavorisées de Lagos, et utilise son temps libre pour faire du bénévolat là où elle le peut. 

13. Jenny Emem




La corruption et la mauvaise gestion économique qui continuent d’aggraver les inégalités et la pauvreté au Nigéria sont les raisons pour lesquelles Jenny Emem est motivée afin de faire bouger les lignes.

«  La lutte contre la pauvreté causée par la mauvaise gestion et la distribution inégale des ressources nationales est une cause qui me tient à cœur, car l’inégalité est devenue endémique et normalisée,  » a expliqué Emem à Global Citizen. «  L’aggravation de la pauvreté et des inégalités au Nigéria a ouvert la porte à d’autres problèmes concernant la gouvernance, les relations sociales et même la sécurité nationale.  »

Grâce à la bourse, Emem est impatiente de se former et de s’engager auprès de personnes partageant les mêmes idées, et d’ouvrir ses yeux à d’autres expériences culturelles vécues par ses pairs. Elle a également hâte de découvrir toutes les façons qui lui permettront d’avoir un impact concret dans sa communauté immédiate.

«  Je m’attends à ce que le programme de bourses soit une période de nouveaux défis, de développement mental et de contact avec un enseignement et un accompagnement dynamique,  » a-t-elle déclaré.

14. Mohammed Bayero Yayandi




L’activiste social Mohammed Bayero Yayandi est un artisan du changement dont l’histoire a été classée sur le blog du British Council of Nigeria comme l’une des 75 histoires les plus inspirantes.  

Yayandi aspire à apporter un changement grâce à la culture numérique, en ayant fondé YandyTech, une plateforme qui fournit aux jeunes, aux femmes et aux enfants des compétences dans le domaine des technologies de l’information et de la communication.  

«  Je m’intéresse à l’éducation des filles et à la culture numérique, car je crois que l’éducation est essentielle au développement social, une société raisonnable ne peut pas le nier,  » a-t-il déclaré à Global Citizen. 

Yayandi entend développer ses compétences dans le cadre de la bourse et espère apprendre des autres boursiers ainsi que des mentors expérimentés afin d’approfondir ses connaissances et de lui permettre de continuer à fournir une aide essentielle à sa communauté.

15. Oluwafunmilayo Taiwo

Oluwafunmilayo Taiwo est une professionnelle de la communication en matière de développement avec plus de quatre ans d’expérience. Elle se consacre à la sensibilisation de la Santé et des Droits Sexuels et Reproductifs (SDSR) chez les jeunes, en dispensant une éducation sexuelle adaptée à l’âge.

«  Chaque région du Nigéria a des problèmes dynamiques de SDSR, qui sont tous directement liés aux taux élevés de grossesses non désirées et aux taux de pauvreté croissants qui en résultent,  » a-t-elle déclaré à Global Citizen. «  Je pense que s’attaquer à ces problèmes [en encourageant] les jeunes [à être] conscients de leurs droits sexuels et reproductifs [est] la clé pour éliminer l’extrême pauvreté à travers les générations.  » 

Taiwo a postulé à la bourse pour découvrir de meilleures méthodes pour utiliser la technologie à des fins de sensibilisation et pour transmettre des histoires qui auront un impact.

Elle est une ancienne représentante de la jeunesse au bureau de Lagos du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) et membre du Réseau Africain des Jeunes et Adolescents en Population et Développement (AfriYAN).


Nous sommes reconnaissants de la généreuse donation de Tyler Perry en partenariat avec BeyGOOD pour soutenir le programme Fellowship. 

Advocacy

Exiger l’équité

Rencontrez la promotion 2021, troisième année de la Global Citizen Fellowship soutenue par BeyGOOD

Par Akindare Lewis  et  Khanyi Mlaba